Notre évolution personnelle et collective jusqu'à ce moment où il nous faut encore aller au-delà est liée à l'exploration mentale des divers plans de forces psychiques caractéristiques des centres subtils.
Les centres de la tête marquent la constitutions des sagesses. La problématique mentale est d'abord de recevoir une lumière qui dépasse sa perception usuelle. Selon nous les mentalités tribales primitives, hiérarchiques les plus antiques furent axées sur une telle problématique.
La suprématie du centre du coeur marque l'âge traditionnel prémoderne qui explore introspectivement les émotions les plus fortes à partir d'une conscience mentale. L'honneur chevaleresque, la magnanimité et l'amour courtois, par exemple, sont des réponses parmi d'autres à la problématique qui consiste à garder malgré tout un sens moral et donc un sens de la sagesse quand la violence émotionnelle et vitale émerge comme jamais dans cette exploration. La fin de l'antiquité et le Moyen-âge marquent cet effort face aux invasions barbares et aux brassages ethniques qu'elles impliquent.
L'aventure mentale passe ensuite au centre ventral qui est marqué par l'exploration de l'appropriation grâce à des techniques, ce passage donne la victoire guerrière à ceux qui l'entreprennet. Cette dynamique d'appropriation techniciséé génère la puissance d'Etats centralisés diffisant le capitalisme. Mais ce mouvement qui n'entend plus que la rationalité ne se voit pas manipuler par les forces psychiques qui se nourrissent de la recherche de la richesse ou du pouvoir. Nous voici alors dans la mentalité moderne impérialiste et nationaliste.
L'aventure glisse alors dans l'exploration des désirs. Les serviteurs des marchands d'hier exigent des plaisirs : on veut tous des biens de consommation à commencer par le sexe libéré des contraintes de reproduction mais face à la déliquescence relationnelle, on va redécouvrir l'exploration psychique et essayer de comprendre ce qui cherche à s'individualiser par delà nos pulsions animales une fois relativisées nos bornes morales et sociales. C'est l'âge postmoderne où nous sommes qui conduit à consommer les équilibres du vivant, les équilibres familiaux, culturels et qui rend la conscience mentale obsolète pour offrir de vraies réponses : l'âge qui peut entendre l'exigence spirituelle d'une évolution de la conscience au-delà de la conscience mentale.
NB : pour prolonger ceci on peut lire un article plus élaboré ici.
Les centres de la tête marquent la constitutions des sagesses. La problématique mentale est d'abord de recevoir une lumière qui dépasse sa perception usuelle. Selon nous les mentalités tribales primitives, hiérarchiques les plus antiques furent axées sur une telle problématique.
La suprématie du centre du coeur marque l'âge traditionnel prémoderne qui explore introspectivement les émotions les plus fortes à partir d'une conscience mentale. L'honneur chevaleresque, la magnanimité et l'amour courtois, par exemple, sont des réponses parmi d'autres à la problématique qui consiste à garder malgré tout un sens moral et donc un sens de la sagesse quand la violence émotionnelle et vitale émerge comme jamais dans cette exploration. La fin de l'antiquité et le Moyen-âge marquent cet effort face aux invasions barbares et aux brassages ethniques qu'elles impliquent.
L'aventure mentale passe ensuite au centre ventral qui est marqué par l'exploration de l'appropriation grâce à des techniques, ce passage donne la victoire guerrière à ceux qui l'entreprennet. Cette dynamique d'appropriation techniciséé génère la puissance d'Etats centralisés diffisant le capitalisme. Mais ce mouvement qui n'entend plus que la rationalité ne se voit pas manipuler par les forces psychiques qui se nourrissent de la recherche de la richesse ou du pouvoir. Nous voici alors dans la mentalité moderne impérialiste et nationaliste.
L'aventure glisse alors dans l'exploration des désirs. Les serviteurs des marchands d'hier exigent des plaisirs : on veut tous des biens de consommation à commencer par le sexe libéré des contraintes de reproduction mais face à la déliquescence relationnelle, on va redécouvrir l'exploration psychique et essayer de comprendre ce qui cherche à s'individualiser par delà nos pulsions animales une fois relativisées nos bornes morales et sociales. C'est l'âge postmoderne où nous sommes qui conduit à consommer les équilibres du vivant, les équilibres familiaux, culturels et qui rend la conscience mentale obsolète pour offrir de vraies réponses : l'âge qui peut entendre l'exigence spirituelle d'une évolution de la conscience au-delà de la conscience mentale.
NB : pour prolonger ceci on peut lire un article plus élaboré ici.