dimanche 30 mars 2025

EXAMEN CRITIQUE DE L'ÉVEIL COMME PAIX : AU CŒUR DE LA VISION SANS TÊTE, L'EVOLUTION CONSCIENTE DE L'ÂME et quelques unes de ses conséquences concernant l'évolution de l'humanité.

Œuvre de Ton Dubbeldam


AU COEUR DE LA VISION SANS TETE, VIVRE LE SOI AVEC UNE AME OU L'EVEIL DE L'EVOLUTION CONSCIENTE DE LA CONSCIENCE


Pour percevoir cet œil ouvert de lumière intérieure en moi, de façon plus continue, les expériences de Douglas Harding me furent d'un grand secours afin que cette Ouverture consciente de la conscience, entraperçue régulièrement auparavant,  ne se stabilise au sein du vécu. 

La perception et la pensée sont distinguées aisément et de plus en plus radicalement avec la pratique d'un retour aux faits perceptifs, usuellement minorés par une vie ordinaire d'un ego ignorant de sa source. L'égocentrisme de mes personnalités est grâce à cela viscéralement relativisé. Mes personnalités ne trônent plus au centre de ce que je suis, elles n'y parviennent que fort épisodiquement. 

La lumière intérieure me met devant le mystère de l'autocréation de ce qui est et paraît comme mon individualité avec ses personnalités, les autres et le monde. Cette lumière intérieure se désenténébrant est lumière divine, Félicité,  Beauté, Bonté. Elle me révèle mon cœur. Ma présence personnelle dans cette présence divine descend s'enfoncer dans le cœur au centre du torse. Là certains pans de ma personnalité commencent à ne faire qu'un avec l'Ouverture de conscience. Des dimensions personnelles s'avèrent être de l'essence même la Présence. L'union sans séparation est aussi vue comme un fait en croissance. Elle n'est pas uniquement le produit d'une transparence acquise par ma personne en évoluant dans le Voir inhérent à l'Ouverture de conscience consciente, elle ne résulte pas uniquement d'une intégration de mon individualité au sein de la Présence.
Cette réalité d'union par essence entre la Présence et des pans de ma personne rend la notion de Divin encore plus pertinente et évidente. Par cette union devenue perceptible, mes dimensions individuelles  participent d'un amour universel dirigeant le Devenir. Là commence la découverte de ce que j'ai pu appeler, sur ce blog, le Soi avec une âme.

Pour prendre conscience de la lumière intérieure, nous avons des techniques psychocorporelles. Pour trouver une continuité avec le parfum de mon âme, cette dimension de ma personne véritable qui prend naissance dans cette lumière du divin, je ne peux témoigner d'aucune technique précise et réitérable par chacun, parce que, sans doute, il ne s'agit pas d'un simple retour à l'esprit et sa lumière. C'est un retour de notre âme vraie à elle-même. Cet enfant Divin que je suis/nous sommes commence par lui-même à se percevoir dans l'humain qu'il expérimente. Lui seul s'exprime dans l'aspiration à la descente dans le cœur. Lui-seul donc peut inspirer à ce qui descend vers lui le mouvement le plus juste qui correspond à sa propre rencontre avec lui-même au sein de l'individualité humaine dont il est le soubassement et pour laquelle il est la source véritable du sens de cette vie humaine temporaire.

Il y a bien sûr quelque chose qui a un rapport avec une descente du sentiment de notre personne dans le cœur ; le pur amour, ou la karuna, brille davantage quand une de nos personnalités en devient davantage l'instrument au lieu de se croire le pseudo-auteur de ce qui est moral. 
Dans cette descente, Il y a des bouffées de joie sans cause et sans objet qui surgissent de là et encourage la descente. D'où l'aspiration pour une large part de notre personne de servir le centre et de ne plus le masquer illusoirement. 
Cependant, c'est à l'acmé de notre authenticité dans la situation, ici et maintenant, qui exige de devenir et d'agir avec le plus de justesse possible, qu'il y a ce parfum. 
La justesse n'est pas simplement une question de servir l'amour. Il y a une vérité à servir avant d'être sûr de servir l'amour pur dans son flux autocréateur global. Cette vérité à pressentir n'est pas une vérité humaine mentalement exprimable.

Qualité des actions, justesse des connaissances dans leur inconnaissance sont exigées autant que dévotion à la bonté. La voie triple ou le quadruple sentier qui unit pratique des œuvres, de la dévotion, de la connaissance voire voie de la Perfection est donc utile et requise. Mais quelle inflexion mettre ? quand la mettre ? etc. Tout ceci reste à préciser pour chacun et selon le chemin singulier de chacun. 
Pour dire synthétiquement la visée focale de ce chemin, je parlerais d'authenticité du fait de se confier le plus entièrement possible au Divin et à sa dynamique évolutive. 
La foi la plus pure n'est plus seulement une volonté plus ou moins ferme, un sentiment plus ou moins fluctuant, une croyance mentale plus ou moins solide, elle s'avère un engagement naturel du cœur, shraddha en sanscrit. Se confier au Divin, c'est se soumettre vraiment à Lui. Se soumettre au sens de s'abandonner à son action dans la confiance, se soumettre au sens d'ancrer de plus en plus notre humanité individualisée par notre âme vraie, enfant du Divin, engendrée, non pas créé, dans l'œuvre Divine de perfection.


Le parfum de l'âme s'avère un feu. Il semble me ramener des morceaux d'histoire très fugitifs qui font écho maintenant comme à quelque chose qui rejoue une butée, ici et maintenant, d'une subtilité défiant toutes traductions mentales.

La présence de l'âme nous met en présence de l'action vraie. A côté de mes impressions d'action sur le plan mental, vital et physique, qui restent le fait de mes personnalités de surface, il y a l'action vraie. Elle nous fait d'abord pressentir que derrière tous les flux multiple du Devenir, il y a un fleuve unique du Devenir, un flux supraconscient. La dimension autocréatrice de ce qui est, quand elle est pressentie peut sembler inconsciente du point de vue mental, vital et physique : illusion, erreur, émotions perturbantes, souffrances, douleurs physiques, destructions incompréhensibles accompagnent inexorablement le Devenir autocréateur. Mais quand on pénètre sur ce plan de l'âme, on y voit ce flux du Devenir engendrer son étincelle d'individuation : le Suprême divin éternel est son Père et cette réalité divine autocréatrice est sa Mère. L'âme est de la même substance que la Mère du Devenir. L'aspiration de l'âme et de la Mère Divine est de s'aligner sur la "volonté" du Suprême même si nos dimensions humaines nous empêchent de connaître le pourquoi du comment. 
Et au fond, rien n'est contre du point de vue du développement de notre âme. 
Un ego peut être balayé de la vie, un individu peut subir des injustices inacceptables du point de vue des idéaux humains mentaux, vitaux et physiques. Une âme s'incarne, elle, quelles que soient les circonstance ; si elle quitte la scène terrestre, chassée par les circonstances, elle en aura tout de même tirée une évolution. 



INDICES D'UNE COEVOLUTION EN COURS DE L'HUMANITE CONTRIBUANT A UN EXAMEN CRITIQUE DE L'EVEIL COMME PAIX POUR LA BULLE MENTALE HUMAINE

Même hors du point de vue expérientiel de l'âme, en considérant nos connaissances mentales de l'histoire de l'univers, on voit bien que la matière se vitalise, que la vie se mentalise et que dans ses sommets, l'évolution autocréatrice prend conscience d'elle-même au moins partiellement en un individu. Du point de vue mental, on sait qu'il y a une évolution de la matière produisant une individualisation ; du point de vue spirituel, on découvre un lien entre la conscience de l'Ouverture consciente, l'autocréation de tout ce qui se manifeste comme évolution universelle et ce que nous devenons individuellement. 
On peut pressentir, à partir de ces lignes de faits intérieurs et extérieurs objectifs, une réalité qui surgit d'au-delà de la conscience mentale humaine et peut matérialiser quelque chose au-delà des possibilités de compréhension de cette conscience. 
Si nous prenons au sérieux une évolution où par le passé des individualisations deviennent de plus en plus consciente, pourquoi ne pas envisager que ce mouvement se poursuive ? Le scandale de l'évolution de la matière n'est pas notre filiation passée, mais le fait que nous, humains, soyons nous-même un pont, une transition. 
Nous pourrions être un jour face à un être surhumain qui nous ressemble, un peu comme notre animal domestique nous ressemble ; nous pourrions communiquer avec lui comme notre animal domestique peut communiquer avec nous ; mais, comme notre animal domestique avec nous, nous saurions que quelque chose nous échappe dans son action au vu de ses résultats, nous serions amené à reconnaître un niveau de conscience incarné qui nous dépasse.

Cessons cette spéculation même si elle est conséquente du point de vue du paradigme évolutif. Considérons juste le point de vue humain quand il reçoit une poussée évolutive, une intuition qui change son vécu mental de la vie. On doit admettre que cette expansion ne dure pas et produit le plus souvent ses propres obstacles qui devront recevoir une solution nouvelle jamais envisagée. 
Cette lumière qui s'est levée là sous la forme d'une intuition renouvelant la vie mentale y compris matériellement a tôt fait de s'éteindre dans les décombres de l'histoire. 
Et puis, même ce qu'il y a de plus lumineux dans tel regard de la vie mentale sur elle-même, ce qu'il y a d'amour le plus convaincant, paraît toujours s'accompagner d'ombres, qui à un moment deviennent concrètes et nécessitent un élan nouveau. 

Un Bouddha nous parle d'éveil, mais il ne reprend guère ses disciples affirmant que les femmes doivent se réincarner en homme pour qu'il se réalise plus aisément. 
Un Jésus-Christ nous parle d'un Dieu d'amour, mais d'après les Evangiles il invite ses apôtres à maudire ceux qui n'accueillent pas sa Bonne Nouvelle en secouant leurs sandales à l'entrée de leur demeure, il parle de cris et pleurs dans l'enfer, ce qui ressemble à une menace pour qui refuse son enseignement.

Le bonhomme humain ne change pas fondamentalement tant que l'âme et la lumière spirituelle n'exercent qu'une influence mentale, vitale et physique qui reste intermittente ou, plus encore, inconsciente en surface de notre individualité.

Revenons, maintenant, à ce qui se passe de nos jours. Actuellement, pour qui est attentif et rassemble les données, à l'évidence, il y a une émergence de l'âme plus radicale soutenue par l'action de la Mère divine, l'intelligence, pour nous, supraconsciente du Devenir autocréateur. 

Premièrement, les aspirations spirituelles se démultiplient et elles sont de moins en moins rattrapées par des dogmes collectifs, des pratiques standardisées, etc. Elles échappent ainsi de plus en plus à toute forteresse mentale religieuse.
Les aspirations spirituelles se singularisent, la religion s'individualise parce qu'une force intérieure, à laquelle les événements extérieurs répondent, accélère sans aucun doute l'individuation des âmes.


On peut observer ici comme un effet co-évolutif sur les formes du vivant qui accompagnent cette nouvelle individualisation matérielle en cours. 
L'émergence mentale s'est elle-même caractérisée par une co-évolution du vivant, aujourd'hui de plus en plus renseignée objectivement. Avec la disparition des dinosaures-mastodontes, des insectes pollinisateurs émergent avec les fleurs, émergent aussi alors les fruits produits de ces fleurs et nos ancêtres dont le volume cérébral croissant nécessite le sucre abondant de ces fruits.

Le vieil homme en nous, en qui s'effectue l'œuvre de cette supraconscience, force transformatrice, perd ses repères mentaux, il n'a plus de désirs qui le portent, son caractère se fissure, ses habitudes physiques déraillent insuffisantes. Le vieil homme perd pied. 
Certes l'âme émerge dans la conscience jusque là individualisée humainement, ce processus passe par un consentement intérieur, une soumission volontaire de notre personne. 
Mais aujourd'hui, même s'il n'y a pas cette intériorisation et ce consentement, celui qui ne vit que dans la perspective du vieil homme se voit le jouet des circonstances extérieures : il s'accroche à des repères, à des valeurs, à des désirs qui, sans cesse, sont ballotés, désarçonnés, inquiétés. 


Le besoin de Paix devient tellement criant que les chercheurs et les trouveurs de la Présence se démultiplient dans nos sociétés.
Pour l'humain ordinaire, l'horreur de la situation est de plus en plus impossible à fuir dans un quelconque divertissement. 
Mais même vivant déjà au sein de la Présence de cette Paix, l'horreur de la situation, demeure un objet de lutte constant : c'est ce monde, en ébullition, cet autre de plus en plus envahissant, qui met le désordre, menace nos modes de vie. 
Parmi ceux qui ont réalisé la Présence comme Paix, il y a beaucoup de fake-news qui sont partagées en tout sens, il y a un manque de discernement dans l'action même si la Paix immuable est indéniablement présente en arrière-plan des actes de cette personne. 

Car se tenir humainement dans la Paix immuable, ce n'est encore n'y rien comprendre au Divin, c'est risquer de continuer à empirer les circonstances, l'horreur de la situation. Le premier danger certainement est d'absolutiser mentalement cette réalisation ; dès lors on exclut toute autre possibilité spirituelle, on commence à dogmatiser, à s'enfermer tout en se croyant l'Ouvert, une conscience indubitable de l'absolu. 

S'enfermer mentalement dans cette Paix, c'est refuser la Félicité et la divinisation qui se proposent, c'est refuser la nouvelle harmonie qui croît. C'est refuser de se mettre à l'écoute de son cœur et du feu de son âme vraie qui s'y tient cachée en arrière-plan. 
Et c'est forcément trouver aberrante toute idée d'un nouvel être au-delà de l'humain, même si son émergence parmi nous humains et sa victoire incarnée matériellement est peut-être la seule réponse à la crise évolutive que nous vivons. 
Car nous ne vivons pas, si vraiment nous nous plaçons dans la perspective de l'âme vraie, une crise écologique, politique, morale, etc., nous vivons actuellement d'abord et avant tout une crise évolutive. L'horreur de la situation ne peut être traitée authentiquement avec un début d'égalité d'âme qu'à ce niveau.

Les rôles qui font l'horreur de la situation et ceux qui la subissent s'inversent aisément et même se superposent. 
Et cela dessine comme en miroir inversé, la coévolution humaine qui accompagnera le saut évolutif au-delà de l'humain, si une espèce humaine demeure comme les oiseaux demeurèrent après la disparition des autres dinosaures, lors du dernier saut évolutif.

Par exemple, les palestiniens font l'horreur de la situation des israéliens et les israéliens font l'horreur de la situation des palestiniens. Il y a ceux qui font le choix des victimes palestiniennes et ceux qui font le choix des victimes israéliennes. Et ainsi va l'horreur de cette situation. Mais aussi émergera une vie humaine sans victimisation, sans cercle vicieux de la violence ainsi perpétuée par le jeu de la dramatisation.

La corruption et le vide de sens des propositions des politiciens libéraux et démocrates fait que parmi ceux qui vivent la Présence, on lorgne vers des visions avec plus d'ordre et de valeurs. Même éveillé à la Présence, on relaie les idées illébérales d'un Trump, d'un Poutine - le fascisme d'un Julius Evola ne choquerait pas qui le promeuvent sans le savoir. 
Mais comme une dictature de gauche, un autoritarisme de droite, c'est la vindicte contre des gens qui défendent d'autres points de vue.
Le mensonge politique s'inscrit plus largement dans l'œuvre du mensonge y compris celui de l'homme éveillé à la Paix spirituelle. Il peut y avoir la Paix et elle ne peut pas pour autant empêcher la fausseté du dialogue : on prétend écouter, on déforme le propos, on ne retient rien au nom d'un point effectivement faux, la part de vérité de l'autre est systématiquement niée et ignorée.

Ce n'est guère manifester la Paix ! Car la Paix sans l'Amour, ce n'est guère la Paix. L'absence de dialogue authentique est toujours une absence de pureté et de vérité de l'Amour !

La Présence sourde au dialogue et les spiritualités sans âme ignorent les bienfaits du pluralisme. La paix sans âme, ce sont les tentations de régler les problèmes par uniformisation politique. L'âme nécessite le pluralisme, à la surdité dialogale, elle préfère le dissensus fraternel comme base d'une communion véritable et authentique. La fraternité pluraliste est tout sauf une  massification communiste d'où aucune tête ne doit dépasser, quitte à ce qu'on les coupe. La fraternité pluraliste est tout sauf un ordre fasciste où aucun écart du rang n'est pardonné quitte à tuer toute figure d'originalité qui ose interroger cet ordre. 

La Paix et l'Amour supposent un pluralisme créateur car sinon ce n'est guère de l'Amour Ouvert. Une autorité qui n'encourage pas un pluralisme créateur et ne partage pas ses pouvoirs aboutit inéluctablement à un autoritarisme tout à fait contraire à la Vérité de la Paix et de l'Amour Ouvert.

Ainsi s'emballe un processus qui semble contraire à toute harmonie, à tout sens de l'âme, qui, par essence, n'est d'aucun pays, d'aucune nation, d'aucune religion. Mais la maladie redouble ses symptômes avant qu'un saut évolutif immunise le corps définitivement. 

Si vraiment tout est Divin, ce que nous ressentons comme l'horreur de la situation est le refus secret dans notre cœur de poursuivre sur la voix du vieil humain en nous qui croit tout solutionner mentalement, dogmatiquement, autoritairement, violemment. En fait, l'horreur avait toujours été là mais nous la ressentons enfin comme telle ; notre âme émerge et avec elle, l'intelligence de l'œuvre Divine supraconsciente à commencer par le sens de l'imperfection de ce qui est. 
La Paix et une aspiration au Vrai, au Bien et à la Beauté sont indispensables dans cette zone intermédiaire où nous guettent les réponses mentales qui nous ramènent à la vieille humanité mais aussi l'angoisse, la dépression qui de l'autre côté des forces nihilistes surgiront. 
A côté du surhumain que des âmes d'élites commenceront à incarner physiquement s'il s'agit d'un saut évolutif au-delà de l'humain, il y a donc place pour une coévolution humaine. 

Cela s'entend, si on veut bien l'entendre et répondre à son appel. Ce ne sera pas une paix molle ! Ce ne sera pas une paix pactisant avec l'horreur de la situation ! La Paix spirituelle saura se répandre sans nourrir ce qui est contraire à l'Amour vrai ! Elle sera le socle de base pour qui veut se rencontrer en son âme vraie et participer à la divinisation de son individualité mentale et vitale, et en cela ne pas faire obstacle au saut évolutif à venir.

Avant de parvenir à un nouvel équilibre co-évolutif, des gangues du genre humain seront le théâtre d'une transformation en autre chose au-delà de l'humain. Dans la foule des humains, un surhumain se fera ; comme dans la foule des poissons asphyxiés à l'air libre, une forme de respiration alvéolaire s'est fait jour.
Cela ne finira plus comme une lumière intuitive à chaque foie rattrapée par la bulle humaine, touchant à chaque nouveau pas en avant une de ses limites. La bulle humaine mentale avec ses préjugés, ses dogmes, ses condamnations, ses contradictions ne règnera plus en imposant à la vie terrestre ses propres limites. 
Car déjà, Cela va autre part, Cela suscite un saut évolutif. 

Œuvre de Ton Dubbeldam

2024 - mars 2025