On voit aujourd'hui la précarité s'installer de plus en plus dans nos sociétés qui ont le PNB le plus grand par habitant. On voit aujourd'hui les logiques de gain financier étouffer les véritables producteurs de biens matériels et l'investissement de nombreux créateurs. On peut se demander en quoi notre économie est dans ses principes fondateurs viciée.
L'un des principes économiques qu'il nous faut reconsidérer comme la cause de la précarité de notre pouvoir créateur est l'idée que nous devons travailler pour gagner notre vie.
Gagner sa vie, est-ce digne de notre humanité ? Un animal doit lutter pour vivre. Au fond sa lutte pour la vie est sa contribution évolutive. Mais l'être humain s'il est capable d'une évolution consciente de la conscience doit-il céder à sa part d'animalité qui lui intime de lutter pour vivre ?
A quel prix, gagne-t-on sa vie ? N'est-ce pas toujours au détriment d'un autre ? Dans la jungle, on gagne sa vie au détriment des moins adaptés, est-ce cela que nous voulons ? Dans le cas de l'être humain, gagner sa vie revient à ronger peu à peu ce qui permet à l'humanité de vivre. Car lutter pour la vie conduit à la bestialité qui ignore la nécessité de servir le cycle évolutif de la vie.
La précarité du travail des uns crée les conditions de la dégradation du travail des autres, mais pas seulement en terme de gain mais aussi en terme de qualité de travail, en terme de renonciation à toute créativité.
Il est temps que politiquement nous exigions de ne plus avoir l'obligation de gagner notre vie. L'humanité avec son niveau technologique et sa créativité pourrait dépasser ce stade.
Ainsi tout être humain recevrait de quoi se maintenir socialement parce qu'il est humain et que son devoir n'est pas de gagner sa vie mais de créer et de participer à une évolution consciente de la conscience.
Et les paresseux ? Ne seraient-ils pas si nombreux que le système s'effondrerait et qu'à la fin notre civilisation serait encore plus misérable ? A vrai dire tout ceux qui ont été dressés pour travailler et gagner malgré qu'on leur attribuera cette maintenance en vie continueront leur folle course au profit. Et ceux qui aspirent à créer (les authentiques travailleurs) et ceux qui aspirent à contempler (les authentiques paresseux), c'est-à-dire ceux qui sont aujourd'hui frustrés auront tout l'espace devant eux (et en eux).
Dans le domaine éducatif, tous les profs et les élèves aigris laisseront tomber et ne restera en course que ceux qui vraiment sont professeurs et élèves. Ainsi au final la société verra une montée de ceux qui vraiment veulent créer en faisant évoluer ainsi consciemment leur conscience.
L'un des principes économiques qu'il nous faut reconsidérer comme la cause de la précarité de notre pouvoir créateur est l'idée que nous devons travailler pour gagner notre vie.
Gagner sa vie, est-ce digne de notre humanité ? Un animal doit lutter pour vivre. Au fond sa lutte pour la vie est sa contribution évolutive. Mais l'être humain s'il est capable d'une évolution consciente de la conscience doit-il céder à sa part d'animalité qui lui intime de lutter pour vivre ?
A quel prix, gagne-t-on sa vie ? N'est-ce pas toujours au détriment d'un autre ? Dans la jungle, on gagne sa vie au détriment des moins adaptés, est-ce cela que nous voulons ? Dans le cas de l'être humain, gagner sa vie revient à ronger peu à peu ce qui permet à l'humanité de vivre. Car lutter pour la vie conduit à la bestialité qui ignore la nécessité de servir le cycle évolutif de la vie.
La précarité du travail des uns crée les conditions de la dégradation du travail des autres, mais pas seulement en terme de gain mais aussi en terme de qualité de travail, en terme de renonciation à toute créativité.
Il est temps que politiquement nous exigions de ne plus avoir l'obligation de gagner notre vie. L'humanité avec son niveau technologique et sa créativité pourrait dépasser ce stade.
Ainsi tout être humain recevrait de quoi se maintenir socialement parce qu'il est humain et que son devoir n'est pas de gagner sa vie mais de créer et de participer à une évolution consciente de la conscience.
Et les paresseux ? Ne seraient-ils pas si nombreux que le système s'effondrerait et qu'à la fin notre civilisation serait encore plus misérable ? A vrai dire tout ceux qui ont été dressés pour travailler et gagner malgré qu'on leur attribuera cette maintenance en vie continueront leur folle course au profit. Et ceux qui aspirent à créer (les authentiques travailleurs) et ceux qui aspirent à contempler (les authentiques paresseux), c'est-à-dire ceux qui sont aujourd'hui frustrés auront tout l'espace devant eux (et en eux).
Dans le domaine éducatif, tous les profs et les élèves aigris laisseront tomber et ne restera en course que ceux qui vraiment sont professeurs et élèves. Ainsi au final la société verra une montée de ceux qui vraiment veulent créer en faisant évoluer ainsi consciemment leur conscience.
Sur un tel type de pensée on peut écouter ces politiques :
- Sur le site http://sebmusset.blogspot.com;
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